Grand Nord, Grand Sud, photos d’ailleurs
Des photographies des régions les plus froides du globe, l’Arctique et l’Antarctique s’offrent au public. Les paysages, la faune et le ciel invitent l’observateur à s’immerger dans ces lieux sauvages que la présence de l’homme modifie peu à peu.
L’intérêt commun de Denis Giroux et Michel Tournay pour les régions froides du globe les a tout naturellement associés pour cette exposition composée de 20 photographies des régions les plus froides du globe, l’Arctique et l’Antarctique. Les paysages, la faune et le ciel invitent l’observateur à s’immerger dans ces lieux sauvages que la présence de l’homme modifie peu à peu.
Au Sud, la Géorgie du Sud et les Îles Sandwich du Sud ainsi que la péninsule de l’Antarctique captées par Denis et, au Nord, le Québec, le Manitoba, la Russie, la Norvège, l’Alaska et le Pôle Nord saisis par Michel dévoilent quelques-uns de leurs splendides attraits. Quelques grands formats viennent renforcer l’impression d’immensité que dégage l’exposition.
Né à Montréal, Denis Giroux est pharmacien de formation. Depuis qu’il vit à Cowansville, il s’est engagé dans diverses organisations locales, dont le mentorat d’entreprise, le club photo local, la Fondation de l’hôpital BMP et le Musée Bruck. Il a acheté sa première caméra à l’âge de 16 ans, mais c’est après sa retraite de la pharmacie qu’il a pu se consacrer sérieusement à sa passion pour la photographie. Depuis 2010, il a participé à une quarantaine d’expositions de photographie ou multimédia, dont quatre expositions solos.
Natif de Saint-Jean-sur-Richelieu, Michel s’est exilé dans le Grand Nord québécois, plus précisément dans le village de Chisasibi pendant plus de 33 ans. Photographe autodidacte, il se spécialise dans les aurores boréales ainsi que la faune nordique. Rendu à sa 13e éclipse solaire, ce phénomène l’amène aux quatre coins du monde, rencontrant même sa future épouse sur l’île de Pâques en 2010. Ce couple de chasseurs d’éclipses a même fait son voyage de noces à Svalbard, à quelques 800 km du Pôle Nord géographique! Retraité depuis 2018, il habite maintenant à Sutton. Sa prochaine folie: découvrir l’épave de l’Eldorado qui a sombré dans la baie James en 1904!
Vernissage, dimanche le 17 novembre à 14h.